dimanche 24 juillet 2011

ALEX CURRAN : LE DUR APPRENTISSAGE DE LA VIE DES GENS RICHES ET CÉLÈBRES...


De toutes les compagnes de vedettes sportives que j'ai passé en revue sur ce blogue, aucune, jusqu'à maintenant, ne mérite plus le titre de "professionnelle de pro du sport" que la ravissante Alex Curran, épouse du footballeur d'élite Steven Gerrard, capitaine du club de soccer de Liverpool. Ce sont les circonstances et son cheminement personnel qui ont fait en sorte que cette grande blonde aux yeux bleus ( 5 pieds 9 pouces, mensurations : 36-24-34) en soit venue à se consacrer, davantage que la majorité de ses consoeurs riches et célèbres, à sa vie familiale plutôt que de chercher à briller sous les feux de la rampe ou devant les "flash" des photographes de presse. Des paparazzi qui la suivent ou l'épient, Alex Curran en voient déjà assez, que ce soit lorsqu'elle magasine, ou durant ses moments de détente à la plage, ou encore en faisant des visites dans des lieux touristiques. Ces photos innombrables qui circulent sur le NET et qui la montrent, sacs à la main, en train de faire des emplettes, sont peut-être justement attribuables au fait que ces séances de "shopping" sont les occasions les plus propices et les plus faciles pour les photographes de croquer son portrait, puisqu'elle ne fréquente guère les endroits "branchés" où le "glamour" est à l'honneur. Du même coup cependant, à ne voir d'elle que des images illustrant ses tournées dans les boutiques, on est porté à croire qu'elle passe son temps à dépenser l'argent de son illustre mari, et à abuser de ses cartes de crédit au pouvoir illimité ! C'est, du reste, un peu beaucoup le sentiment populaire. En Grande Bretagne comme ailleurs en occident, les jaloux, les curieux et les envieux sont nombreux et ils ne se privent pas de déblatérer sur la vie des gens riches et célèbres. Tout comme les artisans de la presse à potins qui gagnent leur pain en répandant des rumeurs sur ces "stars" qui passionnent leurs lecteurs.


Alex Curran n'a pas à s'excuser de magasiner souvent. Reine du foyer, rôle qu'elle préfère entre tous, elle doit voir à ce que sa famille ne manque de rien. Une famille qui s'agrandira encore cet automne car elle et son époux attendent un troisième enfant, étant déjà les parents de deux mignonnes petites filles. Et le magasinage fait un peu partie de son métier aussi puisque c'est sur ce sujet qu'elle écrit une chronique hebdomadaire dans le Daily Mirror (chronique intitulée : "Go Shopping with Alex Curran"). Les visites de nombreuses boutiques de mode se prolongent peut-être également parce que madame Gerrard estime que sa volumineuse poitrine lui complique la tâche quand vient le temps de choisir des vêtements qui lui iront vraiment bien. La charmante Anglaise native de Aintree (non loin de Liverpool) a eu recours à la chirurgie plastique dès l'âge de dix-huit ans pour ajouter du galbe à ses seins (la taille des bonnets de son soutien-gorge est passée de "B" à "C". Encore insatisfaite de la grosseur de son buste, Alex a récidivé en 2006 en subissant une seconde opération qui a eu pour résultat que ses nouveaux implants mammaires l'obligent à porter du "D". Cependant, la maternité a transformé les formes de sa silhouette, et c'est à ce moment-là qu'elle a regretté d'avoir fait faire des retouches à sa poitrine. D'ailleurs, elle recommande encore aujourd'hui aux jeunes femmes d'attendre après la fin de leurs grossesses avant de décider si elles désirent oui ou non des implants. Si son mari Steven est plutôt content de la généreuse poitrine de sa femme, celle-ci dit toutefois ne pas aimer ni la grosseur ni la forme de ses seins. Elle a songé à une réduction chirurgicale pour régler le "problème", mais elle a finalement décidé d'abandonner ce projet.


Ordinairement, les grands du sport se trouvent des conjointes qui ont elles-mêmes une certaine notoriété grâce à une carrière déjà bien établie dans le milieu des médias, dans le domaine artistique, ou dans celui de la mode. Issue d'un milieu modeste du Merseyside (tout comme Gerrard), travaillant comme technicienne en manucure dans un salon de beauté, Alex Curran n'a guère eu le temps et la possibilité de faire sa marque professionnellement quand, à vingt ans, elle "tombe" dans l'oeil intéressé de Gerrard, lors d'une soirée dans un club de nuit. Également présent sur les lieux ce soir-là, un ami commun d'Alex et de Steve acquiesce à la demande de ce dernier de lui refiler le numéro de téléphone de la jeune blonde pulpeuse. N'étant pas une fan de soccer, Curran ne connaissait pas ce joueur du club de Liverpool et, de prime abord, elle n'était pas tellement "chaude" à l'idée de sortir avec lui ou de le fréquenter. D'ailleurs, leur première rencontre a été assez tranquille et ennuyante. Gênées par une timidité réciproque, les deux jeunes gens ne s'adressèrent pratiquement pas la parole tout au long de la soirée. Après un second rendez-vous dans un restaurant, leurs sentiments amoureux se sont réveillés quand Steven a raccompagné Alex chez elle et qu'il l'a embrassée avant de lui souhaiter une bonne nuit. Peu de temps après, à mesure qu'ils apprenaient à se connaître, Alex est devenue certaine que Gerrard était l'homme de sa vie et qu'elle l'épouserait un jour. Ce jour arriva le 16 juin 2007 et il a changé grandement la vie de la jeune femme.


Alex Curran admet d'emblée que la renommée et la très grande popularité de son mari lui ont ouvert bien des portes. Elle sait qu'elle lui doit sa carrière de chroniqueuse de mode, ses entrées dans le monde du show business ou ses diverses expériences à titre de mannequin. Elle prétend aussi avoir appris à accepter d'être critiquée pour cet état de faits. Mais, à cause de son caractère assez bouillant, cet apprentissage a été parfois difficile. À un si jeune âge, se retrouver soudainement parmi les gens riches et célèbres comporte son lot de surprises, bonnes et mauvaises. Il y a un code de conduite à respecter. Pour Alex c'est encore plus compliqué car elle est un peu prise entre deux feux. Les gens de son ancien milieu social l'accuseront d'être devenue "snob" en accédant à la haute classe. Et, d'autre part, dans le cercle fermé et restreint des riches et célèbres, on la regardera un peu de haut et avec mépris parce qu'elle n'a pas mérité d'elle-même sa place parmi eux . Malgré le sentiment grisant conféré par votre nouveau statut social, vous ne pouvez pas devenir arrogante et répondre n'importe comment aux critiques ou aux attaques verbales, si mesquines soient-elles. Il vous faut apprendre à parler juste assez pour remettre les pendules à l'heure sans vous laisser emporter par la colère et commettre des erreurs en disant des paroles qui dépassent les bornes. Malgré la nouvelle sensation de puissance et de confiance que vous procurent la richesse et la célébrité, vous ne devez pas céder à la tentation de commettre des impairs, de dire et de faire n'importe quoi, puisque vous êtes constamment dans l'oeil du public et des médias. Vous risquez de nuire à votre image et à celle de votre illustre conjoint. Bref, la vie de femme de pro du sport peut devenir moins rose si vous ne faites pas les sacrifices qu'impose votre condition et si vous ne savez pas comment composer avec l'opinion publique.


Alex Curran a payé cher pour apprendre de ses erreurs. Comme ce 8 août 2006 où elle fut arrêtée par la police, dans un restaurant de Liverpool, après avoir frappé une adolescente en plein visage avec une bouteille de verre. On ne sait pas trop ce qui s'est produit ce jour-là, mais plus tard, les charges et les procédures judiciaires contre la conjointe de Gerrard furent abandonnées. Un peu à la même époque, la chanteuse Jamelia, qui était alors dans une relation amoureuse avec le footballeur Darren Byfield, ne s'est pas gênée pour affirmer que les femmes des vedettes du soccer étaient des "sangsues". Visant manifestement Alex Curran par cette remarque acerbe, la chanteuse poursuivait sa charge en disant : «Que Dieu empêche que Alex Curran et Steven Gerrard se séparent. Que serait-elle sans lui ?» Curran, choquée par ces propos assez méchants, a répondu : «Elle (Jamelia) sera contente d'apprendre que je ne connais pas le nom de son amoureux et que Steven pense qu'il est d'un calibre inférieur à des joueurs qui sont incapables de jouer dans les ligues majeures.» En décembre 2007, la mère des enfants du capitaine du club de soccer de Liverpool a perdu encore une excellente occasion de se taire en confiant à des journalistes qu'elle venait d'acheter une montre de 10 000 livres comme cadeau de Noël pour son mari. Quelques heures plus tard, le domicile du couple était cambriolé. Alex a eu la peur de sa vie en arrivant face à face avec quatre voleurs masqués qui ont fait mains basses sur plusieurs objets de grande valeur. Ses jeunes enfants dormaient à l'étage supérieur et elle a craint énormément pour leur sécurité. Elle aurait dû se méfier puisque pas moins de six maisons appartenant à des joueurs du club de Liverpool ont subi le même sort dans les mois qui ont suivi ou précédé le vol chez Gerrard. Avant de passer à l'action, les malfaiteurs attendaient les jours où les joueurs étaient absents de chez eux parce qu'ils étaient partis disputer des matchs à l'étranger... Toujours dans ces années-là, Curran a démontré encore son imprudence et son manque de jugement en allant déclarer à la presse que les habitants de son coin de pays étaient "rudes". Rudes dans le sens qu'ils n'avaient pas de bonnes manières. Inutile de dire qu'elle ne s'est pas fait d'amis avec ce commentaire. Les politiciens de l'endroit, surtout le responsable du tourisme, ont tenu à contredire le jugement de leur célèbre concitoyenne.


Avec le temps, Alex Curran a appris à mesurer et à peser ses paroles. Pour ne pas susciter de critiques ou froisser la susceptibilité de certaines gens, elle a adopté une attitude plus empreinte de modestie, un style plus "low profile". Ainsi, elle tient à préciser qu'elle ne se considère pas vraiment comme un mannequin. Elle souligne qu'elle a simplement commencé à participer à des séances de photographie de mode en 2004, après les championnats européens de soccer, parce que les demandes des photographes étaient de plus en plus nombreuses et insistantes. Par contre, en 2007, en lançant sur le marché un parfum portant son prénom, elle a pu constater avec joie qu'elle avait bien plus d'admirateurs que de détracteurs. Son produit de beauté s'est classé parmi les meilleurs vendeurs cette année-là. Mais, même si elle aime faire savoir qu'elle est devenue financièrement indépendante, elle veut aussi que l'on sache que, pendant la récente récession économique, elle a modéré ses dépenses et qu'elle ne fait pas uniquement son "shopping" dans des boutiques de luxe. Histoire de faire croire qu'elle mène une vie normale, elle se plait également à raconter que sa priorité est sa famille et qu'elle fait elle-même la cuisine, la lessive, le repassage et le ménage pour maintenir en bon ordre son foyer. Pour effectuer ces tâches domestiques et voir au bonheur de tous les membres de la cellule familiale, elle dit bénéficier de l'excellent soutien de sa mère et de sa belle-mère. Son mari Steven fait aussi sa part et Alex dit qu'il s'est révélé un très bon père dès la naissance de son premier enfant. Il espère que celui qui s'en vient à l'automne sera un petit garçon, afin de lui montrer très tôt comment jouer avec un ballon de soccer... Sa femme n'est pas devenue une fan de foot et elle ne socialise pas tellement avec les conjointes des autres joueurs de l'équipe de son compagnon de vie. Lorsque Alex assiste aux matchs, elle le fait plutôt distraitement. Elle ne connaît pas bien les règlements du jeu. Elle est fière des exploits accomplis sur le terrain par Steven, mais ce qui importe surtout pour elle c'est qu'il demeure en santé et qu'il ne subisse pas de blessures. Mais à la maison, on ne parle pas du tout de soccer...

C'est le présent tube de Chris Brown, BEAUTIFUL PEOPLE, qui enjolive le diaporama consacré à Alex Curran (ci-dessous). Dans les paroles de la chanson, l'auteur invite la femme imaginaire, dont il est question, à vivre intensément sa vie sans se laisser abattre par les commentaires ou l'attitude négative de certaines gens. Ça pourrait constituer un bon message pour la valeureuse femme qui partage la vie de Steven Gerrard.