dimanche 11 avril 2010

HEIDI STROBEL N'A PAS GAGNÉ À "SURVIVOR" MAIS ELLE A GAGNÉ LE COEUR DE COLE HAMELS !

En admirant cette photographie de Heidi Strobel, épouse de Cole Hamels, lanceur des Phillies de Philadelphie (baseball), je me suis souvenu d'une vieille chanson de Claude François, que mes parents aimaient écouter. Intitulée JEU DANGEREUX, cette version d'un succès américain comprenait les paroles suivantes :

«C'est curieux l'existence
Car la chance ou la malchance
Se décide à la naissance
Et les gens le savent bien.
Tout dépend dans quel milieu on est
Tout dépend si l'on est beau ou laid
Il y en a qui ont tout c'est vrai
Et puis d'autres qui n'ont rien.
C'est vraiment un drôle de jeu la vie
Drôle de jeu dangereux.»

Non, pas besoin de regarder longtemps le physique de cette pétulante blonde de 31 ans, pour savoir qu'elle a reçu beaucoup à sa naissance. Beaucoup de beauté et de chance... Native de Bethesda au Maryland, Heidi Strobel détient un baccalauréat en éducation physique, et elle a travaillé comme professeur dans cette discipline qui englobe aussi les soins de santé. Avant d'exercer ce métier, elle avait été représentante des ventes d'une entreprise de lingerie, secrétaire dans un bureau de médecin et gérante dans une compagnie de feux d'artifices. Toutes des activités reliées curieusement à l'aspect visuel, esthétique et physique...

Heidi se décrit elle-même comme étant consciencieuse, enthousiaste et déterminée. Ses passe-temps favoris sont la danse, la course à pied, et l'écriture de poèmes. Elle gère également une entreprise de T-Shirts qu'elle a fondée avec sa soeur, tout en s'occupant, avec son mari, ou en son nom, d'une Fondation venant en aide à des enfants pauvres. Un projet qui lui tient particulièrement à coeur est celui de la construction d'une école pour filles, au Malawi, en Afrique.

Cette ravissante jeune femme est devenue mère pour la première fois, l'automne dernier, ajoutant ainsi la joie de la naissance d'un enfant au bonheur de son mari qui avait gagné la Série Mondiale du Baseball Majeur avec les Phillies quelques mois auparavant. Comme si ce championnat n'était pas assez, Hamels avait été élu le Joueur le Plus Utile à son équipe (MVP). Entre ces événements extraordinaires, l'équipe de Philadelphie lui avait accordé un contrat de trois ans, d'une valeur de 20,5 millions de dollars. Difficile pour Hamels de faire mieux et de ne pas être heureux !

Le point tournant dans la vie de Heidi est survenu en août 2003 lorsqu'elle a été choisie pour participer à la 6e saison de la série télévisée SURVIVOR (on la voit au centre sur la photo ci-dessus). Dans l'un des shows de télé les plus populaires au cours des dernières années, elle devait, au cours d'un épisode, faire quelque chose en échange de nourriture. Son audacieuse décision d'enlever ses vêtements, pour pouvoir mettre la main sur des biscuits et du beurre d'arachides, a changé sa vie ! Même si ce geste osé ne lui a pas fait gagner le concours (elle a terminé au 5e rang), il a incité la revue PLAYBOY à lui consentir un contrat pour poser nue dans ses pages. C'est ainsi qu'elle s'est retrouvée en costume d'Ève, dans les studios du célèbre magazine, à poser en compagnie de Jenna Morasca, la gagnante du SURVIVOR de 2003.

S'étant fait connaître grâce à ces coups d'éclat, Heidi Strobel a encore joué de chance, un peu plus tard en Floride, lorsqu'elle a rencontré son futur mari en étant invitée à lancer la première balle lors de cérémonies précédant un match de baseball des ligues mineures. Hamels était sur le terrain, et Heidi n'a pas manqué de lui tomber dans l'oeil avant de lui tomber dans les bras par la suite. Ils se sont mariés le 31 décembre 2006 et ils vivent à West Chester, Pennsylvanie.

Maintenant, après les succès remportés par son champion de mari, et depuis qu'on ne la voit plus aussi souvent qu'avant en public, Heidi Strobel se rend compte que c'est son époux que l'on reconnait le plus quand ils sont ensemble dans les boutiques, sur la rue ou dans les restaurants. Puisque Hamels doit s'absenter la moitié du temps en raison de ses nombreux voyages en Amérique avec les Phillies, Heidi vit de façon ambivalente le fait que son amoureux s'éloigne fréquemment du domicile familial. Après la saison morte, quand le baseball revient et les sépare une première fois après plusieurs semaines de vie commune, Heidi verse des larmes et s'ennuie du père de son enfant. Mais, ensuite elle apprend à composer avec les absences de son conjoint. Les bons côtés de cette situation, dit-elle, c'est qu'ils s'apprécient davantage lorsqu'ils se retrouvent, et qu'ils ont moins de chances de se chicaner. Forcément...

Il arrive encore, parfois, que des admirateurs de Heidi lui demandent de signer des autographes sur des photographies d'elle la montrant nue ou très légèrement vêtue. Avec l'expérience elle a appris qu'elle ne devait pas signer son nom à l'endroit de la photo où on voit ses fesses. C'est l'erreur qu'elle faisait au début, lorsque sa renommée était récente. Ses fans lui ont fait comprendre qu'en agissant de la sorte, elle ruinait la photo qu'ils lui faisaient autographier ! En cherchant un document sonore pour accompagner le diaporama ci-dessous, j'ai repensé à l'action qui a réorienté le destin de celle qui est le sujet de mon article. Si Heidi Strobel a laissé choir ses vêtements sur la scène du tournage de SURVIVOR, je me suis dit que le titre DROP IT LOW de Ester Dean, pourrait bien convenir...


D'autre part, sur mon blog CHEERLEADERS ET STARS, (http://cheerleadersetstars.blogspot.com), je trace un portrait de Sandra Bullock, actrice de l'année aux USA, récompensée récemment par un Oscar. Au sommet de sa carrière, en pleine gloire, elle vit un drame dans sa vie personnelle. Son mariage avec Jesse James éclate à la suite de révélations scandaleuses faisant état de nombreuses infidélités de son époux avec près d'une douzaine de maîtresses. Une affaire qui rappelle celle de Tiger Woods. Ironie cruelle du sort, Bullock avait affirmé, à quelques reprises, qu'elle s'était mariée tardivement (à l'âge de 41 ans), pour être certaine de choisir l'homme de sa vie. Ouch !