samedi 4 septembre 2010

MARKO JARIC SANS DÉFENSE CONTRE ADRIANA LIMA


Pour le commun des mortels, il y a des sorts plus cruels que celui du basketteur serbe Marko Jaric, du Real Madrid. Tous les matins que le bon Dieu amène, l'heureux sportif professionnel se réveille avec un baiser de son épouse adorée. Il n'est probablement pas le seul homme, direz-vous, à ouvrir les yeux en frémissant sous la caresse de lèvres féminines sensuelles. Mais lorsque ces lèvres pulpeuses appartiennent à Adriana Lima, l'une des plus belles et sexy créatures angéliques que la terre a portées, là on bascule dans le monde des rares chanceux qui ont droit à pareil traitement de faveur. Quand bien même je vous raconterais, dans le long et le large, les multiples détails de la biographie de ce super mannequin brésilien qui a épousé Jaric en février 2009 avant de lui donner une petite fille, Valentina, en novembre de la même année, tout commentaire paraîtrait superflu à côté des photographies qui jalonnent ce texte, et qui valent des millions de mots. Qu'il suffise d'ajouter que la "très" catholique Adriana (née le 12 juin 1981 à Salvador de Bahia) était vierge lorsque Marko Jaric l'a mariée, et vous réalisez que le bonhomme de 6'7" est doublement veinard !

Nul ne sera étonné d'apprendre que la petite Adriana gagnait des concours de beauté à l'école. Et que, voyant cela, sa mère l'a poussée à participer à des auditions pour des emplois de mannequin. Remarquée très vite par les professionels du métier, elle quitte le Brésil pour faire carrière à New York, dès l'âge de quinze ans. Elle a confié plus tard que ce premier voyage en avion a été le moment le plus excitant de sa vie, elle dont la famille était trop pauvre pour s'offrir pareille expédition aérienne. Trois ans après ce déménagement dans la "grosse pomme", la petite fille timide qu'elle était jadis, défilait pour VICTORIA'S SECRET, une des plus prestigieuses maisons de lingeries féminines du globe. Les revues pour hommes en ont fait leur "darling", les agences publicitaires lui ont fait signer des contrat de plusieurs millions de dollars (revenus d'Adriana l'an passé = 7,5 millions de $, soit autant que ceux de son mari) et le reste appartient à l'histoire. Trève de détails, donnons plutôt la parole à la super star de la mode, pour en savoir plus sur elle.


D'abord sur le fait que son père a quitté le foyer familial alors qu'elle n'était qu'un bébé de six mois. Elle ne l'a vu qu'une seule fois par la suite lorsqu'elle a eu besoin de papiers officiels l'autorisant à déménager à New York alors qu'elle était toujours d'âge mineur. «Vivre sans la présence d'un père a été une source de confusion parfois; je ne savais pas si j'étais à blâmer pour son départ; je ne savais rien à son sujet... mais j'aime ma mère et j'ai développé un lien très fort avec elle, une relation extraordinaire que la plupart des gens n'ont pas avec leurs propres mères. Tout compte fait, tout s'est arrangé.»


Au sujet de ses origines, de son physique du tonnerre et de ses yeux d'un bleu-vert exceptionnel. «Je tiens ces beaux yeux de mes grands-parents. Je suis née à Bahia. Je suis un mélange d'africain, d'indien et de suisse. C'est ce qui fait que je suis belle.» (...) «Je viens de San Salvador. C'est vraiment petit comparé à Sao Paulo. Le rythme de la vie quotidienne est très lent là-bas. Les gens travaillent la moitié de la journée et vont à la plage ensuite. Les gens ont le temps.» (...) «Il y a de très jolies filles au Brésil parce qu'il y a plusieurs races mélangées. Ce n'est pas comme au Japon, par exemple, où tout le monde se ressemble.» (...) «Je ne crois pas qu'il y ait quelque chose de mal à être "sexy". Ça ne fait pas de vous une fille dévergondée. Si vous êtes sexy dans le bon sens du terme ça peut être quelque chose de positif. C'est un cadeau divin.»


Adolescente timide n'ayant eu son premier vrai baiser qu'à dix-sept ans, Adriana ne se trouvait pas suffisamment jolie pour passer des auditions et avoir ainsi une chance de décrocher un emploi dans le domaine de la mode. Sa mère l'a poussée à faire les démarches nécessaires, en lui ordonnant sur un ton qui n'admettait aucune réplique : «tu vas à l'audition et tu vas chercher le job !» Adriana se présente sur les lieux de l'audition et elle s'affolle un peu à la vue des autres candidates qui lui semblent bien plus belles qu'elle. En plus... «Je devais mettre un bikini. Je croyais être trop maigre. Mais je l'ai mis et j'ai obtenu l'emploi ! C'est comme ça que j'ai commencé.»


Catholique pratiquante, allant à la messe à tous les dimanches, et respectant la doctrine de l'Église, Adriana Lima s'est gardée chaste et pure jusqu'à son mariage. Auparavant, elle a eu des liaisons amoureuses avec trois ou quatre hommes mais lorsqu'elle voyageait avec eux, elle faisait chambre à part dans les hôtels. Elle a notamment fréquenté la rock star Lenny Kravitz et le Prince Wenzeslaus du Liechtenstein. Il faut dire qu'elle peut développer bien des amitiés puisqu'elle parle le français, le portugais, l'anglais et un peu l'italien. Lorsque venait le temps de parler d'amour, Adriana ne voulait pas être brusquée. Elle se laissait apprivoiser lentement, par étapes. Ses prétendants devaient avoir de bonnes manières et être galants, à l'ancienne... Ces exigences ont bien servi son futur mari, Marko Jaric, qui est une personne discrète et réservée : «je ne suis pas le type de personne qui tombe en amour facilement», déclarait le joueur de basketball géant après que sa relation avec le top modèle fut connue publiquement, «Je suis plutôt difficile à ce point de vue. Maintenant c'est une situation un peu différente.»


En fait, la réputation d'Adriana, et son charme très sexy, semblaient intimider les hommes lorsqu'elle était encore célibataire. Elle confie : «habituellement les gars sont nerveux. Je pense qu'ils ont peur de moi. Pourtant je n'ai pas un "look" intimidant. Soyez naturels ! N'essayez pas d'être ce que vous n'êtes pas. Si vous êtes du genre nerveux, soyez nerveux. Si vous êtes du genre timide, soyez timide. D'ailleurs c'est charmant !» Ce désir d'authenticité chez les autres lui fait apprécier, par exemple, des personnalités comme le président américain Barack Obama. Lui et sa famille sont des gens simples et vraies, sans faux-semblant. Bien qu'elle se soit généralement bien entendue avec les professionnels de la mode depuis le début de sa carrière, elle est consciente qu'il y a de la jalousie et de la méchanceté dans ce milieu très axé sur les apparences...souvent trompeuses. «Si vous essayez d'être quelqu'un que vous n'êtes pas, vous devenez un mensonge et ça c'est détestable en mode ou ailleurs. Vous vous prenez pour un autre et, soudain, la vérité sort, un jour ou l'autre. Même si vous vous trompez, admettez-le, cela est admirable en soi.»


Adriana a participé, comme plusieurs autres mannequins, au débat sur la silhouette famélique des jeunes top modèles d'aujourd'hui. Elle "défend" énergiquement ses courbes et ses rondeurs même si elle a déjà été quelque peu hanté par l'obsession de la maigreur. «Je tente de contrôler ce que je mange mais la vérité c'est que je n'y arrive pas. J'ai essayé de cesser de manger de la viande mais ça n'a duré que trois jours. Je ne réussis pas à m'en priver. J'aime la viande, le chocolat, les gâteaux...» Dotée d'une bonne génétique héritée de sa mère, l'égérie de Victoria's Secret et de Maybelline peut assez facilement perdre les kilos en trop. Comme elle l'a encore démontré cette année après avoir mis au monde sa petite fille. En parlant de ses formes "généreuses", Adriana précise qu'elle ne veut pas risquer d'être malade en s'astreignant à un régime trop sévère : «ces courbes m'ont déjà fait perdre des emplois mais je ne changerai pas. Je suis en santé et personne ne peut m'enlever ça. Dans la culture brésilienne, les gens aiment les rondeurs corporelles. Je veux dire de grosses rondeurs ! Lorsque j'étais plus jeune j'ai suivi une diète pour gagner du poids ! De nos jours, la mode est aux filles maigres. Lorsque quelqu'un vous dit que vous êtes maigre, vous répondez "Oh ! c'est fantastique ! Merci !»


Même si elle vit au coeur de l'industrie de la mode, Adriana Lima n'a pas des goûts vestimentaires extravagants pour sa garde-robe personnelle. Elle ne se préoccupe pas du tout des marques quand vient le temps de s'acheter des vêtements. Elle choisit ce qui lui plait, ce qui lui va bien. Si elle avait pu, cette femme à la poitrine plantureuse aurait choisi un bustier mieux attaché le jour où elle a connu son plus grand embarras en public. «J'étais dans un défilé de mode et je portais un haut sans attache. À la fin du défilé mon haut était...en bas. Pire que ça, le lendemain matin ma mère m'a téléphonée et m'a dit : "Adriana je t'ai vue à la télé. Tu es celle dont le haut a tombé".»


Si vous voulez faire un diaporama avec des photographies de la ravissante Adriana Lima, vous avez l'embarras du choix. Des centaines de milliers d'images s'offrent à vous. Parmi elles, des clichés remarquables mettant en relief les atouts séduisants de notre vedette. En voici quelques-uns, sur une autre musique de David Guetta.


samedi 3 juillet 2010

MAURA RIVERA : UN "SEX SYMBOL" INSPIRANT POUR LE FOOTBALLEUR MARK GONZALEZ


À la Coupe du Monde de football (soccer) qui se déroule présentement en Afrique du Sud, la plupart des buts revêtent une importance capitale. Ils peuvent faire la différence entre la victoire et la défaite, entre l'élimination et le titre de champions du monde, entre la honte des vaincus engendrant parfois des émeutes et l'allégresse des vainqueurs suscitant l'emphorie des foules dans les pays où le foot est une véritable religion. C'est pourquoi, avec un enjeu si énorme (plusieurs diront qu'il est exagéré), les athlètes qui ont le bonheur de marquer un but au Mondial célèbrent leur réussite comme si c'était un exploit digne des dieux. Sous les acclamations de la foule en délire, certains gesticulent en y allant d'un sprint endiablé, alors que d'autres s'étendent au sol de tout leur long, les bras en croix, pendant que leurs coéquipiers les entourent et les félicitent. Il y a aussi ceux qui exécutent un plongeon sur le dos ou sur le ventre, de même que ceux qui font l'oiseau ou l'avion en feignant de s'envoler. On en voit même qui envoient des baisers aux partisans, comme ce fut le cas du Chilien Mark Gonzalez, après avoir marqué le seul but du match contre la Suisse en première ronde du tournoi.

Après la rencontre, on a appris que ces baisers étaient sans doute destinés à une personne en particulier. En effet, Gonzalez a déclaré qu'il dédiait son but vainqueur à son amoureuse, nulle autre que le "sex symbol" du Chili, Maura Rivera. Présente dans les gradins du stade, la ravissante jeune femme était venu encourager l'élu de son coeur qui, incidemment, est natif du pays hôte du Mondial 2010. Dans un élan de romantisme ou d'esprit chevaleresque, Gonzalez avait-il promis un but à sa charmante compagne ? On l'ignore. Ce que l'on sait, c'est que les médias d'information sud-américains ont fait leurs choux gras de cette affaire et que les deux tourtereaux sont devenus le couple chéri du Chili. Si l'immense popularité du soccer fait des joueurs de haut niveau, comme Gonzalez, des vedettes adulées du public, il faut souligner que Maura Rivera n'a rien à envier à son partenaire en ce qui concerne la célébrité.

Star de la fameuse série télévisée ROJO FAMA CONTRAFAMA mettant en vedettes les meilleurs danseurs chiliens, cette jolie femme de 25 ans, originaire de Santiago, a littéralement crevé l'écran pendant six ans (de 2002 à 2008), en devenant le chouchou du peuple chilien, grâce à son élégance sensuelle, à ses performances extraordinaires et à sa personnalité attachante. Tout le long de cette enrichissante et passionnante expérience, elle a eu le temps de développer son sens artistique et elle a appris à bien se comporter devant les caméras et sous les projecteurs des studios de télévision. Son immense popularité et son physique de rêve lui ont ouvert d'autres portes de l'industrie du spectacle. On lui a confié des rôles de présentatrice et d'animatrice à la télé. Les agences publicitaires l'ont réclamée pour faire la promotion de divers produits. Ses formes sculpturales et son sex-appeal en ont aussi fait un mannequin en forte demande.

Conscients du potentiel de Maura, les producteurs de ROJO FAMA CONTRAFAMA ont voulu capitaliser sur sa popularité en lui faisant enregistrer une chanson, LA COCOTERA, en compagnie d'une autre tête d'affiche de la série, Yamna Lobos. Le succès a été instantané et les ventes du single ont rapporté un disque d'or à la "nouvelle" chanteuse. Ce ne sera pas sa seule incursion dans le domaine de la musique puisque le groupe CANAL MAGDALENA aura recours à ses services dans la vidéo de la chanson LADY LOVE ME.


Rivera a aussi tiré profit de son statut de vedette pour faire avancer des causes qui lui tiennent à coeur, comme celle de la défense des animaux maltraités. C'est ainsi qu'en septembre 2008, elle a donné son appui à ANIMA NATURALIS, un groupe de pression qui a organisé une marche de protestation contre le rodéo au Chili. Comme quelques autres stars féminines, la belle de Santiago milite également contre l'utilisation de la fourrure par des artisans de la mode. N'ayant pas peur de faire connaître ses opinions politiques, elle a soutenu le candidat Sebastian Pinera à une élection présidentielle récente.

Ces dernières années, Maura a compétitionné dans le renommé show STARS ON ICE avant de remporter le concours télévisé DANCE FEVER (Fiebre de Baile) avec 52% du vote populaire. Elle a aussi été juge ou paneliste dans des émissions de télé comme ALFOMBRA ROJA et VINA 50 ANOS. Sa réputation dépasse maintenant les frontières de son pays. On l'a même vu au Canada lorsqu'elle a pris part à un Festival chilien.

L'amoureux actuel de Mlle Rivera n'est pas le premier Gonzalez qui a obtenu ses faveurs. Avant lui, un autre pro du sport, le tennisman Fernando Gonzalez avait partagé la vie de la danseuse émérite.

Pour enjoliver musicalement le diaporama qui suit, j'ai choisi le remix de la chanson DIRTY TALK, une autre brillante production du formidable DJ David Guetta. Pleine de rythme ensorceleur, comme Maura Rivera elle-même, cette pièce ajoute un élément "sulfureux" à des images qui sont pourtant déjà très très "hot". C'est la voix de l'excellente chanteuse New Yorkaise Wynter Gordon que l'on entend sur le morceau en question.

En terminant, je veux signaler une autre de mes productions sur un blog apparenté à celui-ci. Il s'agit d'un hommage à l'ex-championne de natation, la sexy Laure Manaudou. C'est sur REINES DU STADE (http://reinesdustade.blogspot.com).


dimanche 11 avril 2010

HEIDI STROBEL N'A PAS GAGNÉ À "SURVIVOR" MAIS ELLE A GAGNÉ LE COEUR DE COLE HAMELS !

En admirant cette photographie de Heidi Strobel, épouse de Cole Hamels, lanceur des Phillies de Philadelphie (baseball), je me suis souvenu d'une vieille chanson de Claude François, que mes parents aimaient écouter. Intitulée JEU DANGEREUX, cette version d'un succès américain comprenait les paroles suivantes :

«C'est curieux l'existence
Car la chance ou la malchance
Se décide à la naissance
Et les gens le savent bien.
Tout dépend dans quel milieu on est
Tout dépend si l'on est beau ou laid
Il y en a qui ont tout c'est vrai
Et puis d'autres qui n'ont rien.
C'est vraiment un drôle de jeu la vie
Drôle de jeu dangereux.»

Non, pas besoin de regarder longtemps le physique de cette pétulante blonde de 31 ans, pour savoir qu'elle a reçu beaucoup à sa naissance. Beaucoup de beauté et de chance... Native de Bethesda au Maryland, Heidi Strobel détient un baccalauréat en éducation physique, et elle a travaillé comme professeur dans cette discipline qui englobe aussi les soins de santé. Avant d'exercer ce métier, elle avait été représentante des ventes d'une entreprise de lingerie, secrétaire dans un bureau de médecin et gérante dans une compagnie de feux d'artifices. Toutes des activités reliées curieusement à l'aspect visuel, esthétique et physique...

Heidi se décrit elle-même comme étant consciencieuse, enthousiaste et déterminée. Ses passe-temps favoris sont la danse, la course à pied, et l'écriture de poèmes. Elle gère également une entreprise de T-Shirts qu'elle a fondée avec sa soeur, tout en s'occupant, avec son mari, ou en son nom, d'une Fondation venant en aide à des enfants pauvres. Un projet qui lui tient particulièrement à coeur est celui de la construction d'une école pour filles, au Malawi, en Afrique.

Cette ravissante jeune femme est devenue mère pour la première fois, l'automne dernier, ajoutant ainsi la joie de la naissance d'un enfant au bonheur de son mari qui avait gagné la Série Mondiale du Baseball Majeur avec les Phillies quelques mois auparavant. Comme si ce championnat n'était pas assez, Hamels avait été élu le Joueur le Plus Utile à son équipe (MVP). Entre ces événements extraordinaires, l'équipe de Philadelphie lui avait accordé un contrat de trois ans, d'une valeur de 20,5 millions de dollars. Difficile pour Hamels de faire mieux et de ne pas être heureux !

Le point tournant dans la vie de Heidi est survenu en août 2003 lorsqu'elle a été choisie pour participer à la 6e saison de la série télévisée SURVIVOR (on la voit au centre sur la photo ci-dessus). Dans l'un des shows de télé les plus populaires au cours des dernières années, elle devait, au cours d'un épisode, faire quelque chose en échange de nourriture. Son audacieuse décision d'enlever ses vêtements, pour pouvoir mettre la main sur des biscuits et du beurre d'arachides, a changé sa vie ! Même si ce geste osé ne lui a pas fait gagner le concours (elle a terminé au 5e rang), il a incité la revue PLAYBOY à lui consentir un contrat pour poser nue dans ses pages. C'est ainsi qu'elle s'est retrouvée en costume d'Ève, dans les studios du célèbre magazine, à poser en compagnie de Jenna Morasca, la gagnante du SURVIVOR de 2003.

S'étant fait connaître grâce à ces coups d'éclat, Heidi Strobel a encore joué de chance, un peu plus tard en Floride, lorsqu'elle a rencontré son futur mari en étant invitée à lancer la première balle lors de cérémonies précédant un match de baseball des ligues mineures. Hamels était sur le terrain, et Heidi n'a pas manqué de lui tomber dans l'oeil avant de lui tomber dans les bras par la suite. Ils se sont mariés le 31 décembre 2006 et ils vivent à West Chester, Pennsylvanie.

Maintenant, après les succès remportés par son champion de mari, et depuis qu'on ne la voit plus aussi souvent qu'avant en public, Heidi Strobel se rend compte que c'est son époux que l'on reconnait le plus quand ils sont ensemble dans les boutiques, sur la rue ou dans les restaurants. Puisque Hamels doit s'absenter la moitié du temps en raison de ses nombreux voyages en Amérique avec les Phillies, Heidi vit de façon ambivalente le fait que son amoureux s'éloigne fréquemment du domicile familial. Après la saison morte, quand le baseball revient et les sépare une première fois après plusieurs semaines de vie commune, Heidi verse des larmes et s'ennuie du père de son enfant. Mais, ensuite elle apprend à composer avec les absences de son conjoint. Les bons côtés de cette situation, dit-elle, c'est qu'ils s'apprécient davantage lorsqu'ils se retrouvent, et qu'ils ont moins de chances de se chicaner. Forcément...

Il arrive encore, parfois, que des admirateurs de Heidi lui demandent de signer des autographes sur des photographies d'elle la montrant nue ou très légèrement vêtue. Avec l'expérience elle a appris qu'elle ne devait pas signer son nom à l'endroit de la photo où on voit ses fesses. C'est l'erreur qu'elle faisait au début, lorsque sa renommée était récente. Ses fans lui ont fait comprendre qu'en agissant de la sorte, elle ruinait la photo qu'ils lui faisaient autographier ! En cherchant un document sonore pour accompagner le diaporama ci-dessous, j'ai repensé à l'action qui a réorienté le destin de celle qui est le sujet de mon article. Si Heidi Strobel a laissé choir ses vêtements sur la scène du tournage de SURVIVOR, je me suis dit que le titre DROP IT LOW de Ester Dean, pourrait bien convenir...


D'autre part, sur mon blog CHEERLEADERS ET STARS, (http://cheerleadersetstars.blogspot.com), je trace un portrait de Sandra Bullock, actrice de l'année aux USA, récompensée récemment par un Oscar. Au sommet de sa carrière, en pleine gloire, elle vit un drame dans sa vie personnelle. Son mariage avec Jesse James éclate à la suite de révélations scandaleuses faisant état de nombreuses infidélités de son époux avec près d'une douzaine de maîtresses. Une affaire qui rappelle celle de Tiger Woods. Ironie cruelle du sort, Bullock avait affirmé, à quelques reprises, qu'elle s'était mariée tardivement (à l'âge de 41 ans), pour être certaine de choisir l'homme de sa vie. Ouch !

dimanche 7 mars 2010

"MAD MAX" : UN BON GARDE DU CORPS POUR ELENA DEMENTIEVA


Ceux et celles qui connaissent un peu la championne de tennis russe Elena Dementieva savent qu'elle est plus discrète et qu'elle protège davantage sa vie privée que ne le fait sa compatriote très "glamour" Anna Kournikova. La grande blonde de 5'11" ne fait pas partie du "jet set" international et elle préfère garder un profil bas. Même après dix années de carrière professionnelle durant lesquelles elle s'est hissée dans le "top 5" du classement de l'ATP, Elena ne s'épivarde pas beaucoup en dehors des courts de tennis. Et lorsqu'elle sort pour magasiner, c'est plus souvent avec sa mère Vera qu'on l'aperçoit. Parfois il y a un jeune homme qui les accompagne et qui se tient légèrement en retrait. Un garde du corps ? Non, il s'agit plutôt de l'amoureux de Mlle Dementieva, le joueur de hockey des Thrashers d'Atlanta, Maxim Afinogenov, surnommé "Mad Max" (pas celui qui apparaît à gauche sur la photo ci-haut !).

Maxim et Elena se connaissent depuis leur enfance à Moscou où la jolie tenniswoman aux yeux bleu est née le 15 octobre 1981. Dès l'âge de 13 ans, elle se met à gagner des tournois dans son pays et aussi, à l'étranger. Elle devient professionnelle en 1998 et on a commencé à la voir assez tôt aux côtés d'Afinogenov. Mais ce n'est que depuis cinq ans environ que les deux athlètes ne cachent plus leur amour, même s'ils ne le crient pas sur tous les toits. Avant de révéler qui avait la clef de son coeur, Dementieva avait même lancé les journalistes sur une fausse piste en parlant une fois, sans le nommer, d'un Français qui faisait battre son pouls aussi vite que son jeu sur le terrain de tennis. Drôle de coïncidence, Afinogenov a déjà confié qu'il a toujours rêvé de parler en français. Une rumeur a même circulé au sujet d'un échange qui l'envoyait au Canadien de Montréal, un club de la Ligue Nationale de Hockey, qui évolue dans un marché majoritairement francophone...

Lorsqu'il peut assister aux exploits de sa "blonde" aux longues jambes, Mad Max ne ménage pas les cris d'encouragement et se montre très enthousiaste. Lui-même adore le tennis et souhaite un jour pouvoir jouer contre sa conjointe. Celle-ci ne s'y objecte pas et avoue que Maxim est meilleur au tennis, que elle sur patins ! Pour ce qui est des rumeurs de mariage, les deux tourtereaux ne s'avancent pas sur ce terrain glissant.

Si leur longue amitié s'est transformée en amour presque secrètement, il n'en demeure pas moins que Maxim ne voulait aucunement éviter de montrer sa fierté et son admiration quand sa muse a mérité la médaille d'or aux Jeux Olympiques de Beijing en 2008. Présent près d'elle lors de la conférence de presse où la championne partageait ses impressions sur sa victoire, le hockeyeur rayonnait de bonheur, non sans rêver pouvoir lui-aussi un jour mettre la main sur une récompense semblable aux Jeux Olympiques d'hiver, en hockey.

Menant des carrières qui les appellent à voyager beaucoup, les deux amants sont souvent séparés. Parfois, on peut imaginer que quand les saisons de hockey et de tennis se chevauchent, Max et Elena peuvent se rencontrer entre deux matchs à un endroit situé à mi-chemin entre leurs lieux de compétitions. C'est pourquoi le montage audio-visuel qui suit a été fait sur la musique de BLACK EYED PEAS, en l'occurence l'excellente pièce "Meet me halfway". À noter que, pour ceux et celles qui voudraient en savoir plus sur la carrière professionnelle de Elena Dementieva, je vais lui consacrer un article sur mon blog REINES DU STADE (http://reinesdustade.blogspot.com). C'est à suivre...

mercredi 3 février 2010

SAGA TIGER WOODS-ELIN NORDEGREN : LA GESTION DE CRISE A RÉUSSI À RÉPARER LES POTS CASSÉS ?

La saga des infidélités de Tiger Woods, une des affaires les plus médiatisées des récentes années, connaîtra-t-elle un dénouement heureux ? C'est la tournure que semble prendre les derniers événements. Depuis l'accident de voiture de Tiger Woods (en novembre 2009), qui a été l'élément déclencheur qui a révélé au monde entier le scandale entourant les relations extra-conjugales du plus célèbre golfeur de la planète, une batterie de conseillers matrimoniaux et d'avocats spécialisés en gestion de crise a travaillé d'arrache-pied pour limiter les dégâts et tenter de réparer les pots cassés.

L'épouse de Woods, Elin Nordegren, vient de mettre fin aux procédures de divorce et donnera une chance à son mari de se guérir de son addiction au sexe et de reprendre ses rôles d'époux et de père. La jolie Suédoise, mariée au champion depuis 2004, lui aurait récemment rendu visite à la clinique du Mississipi où il suit une thérapie comportementale visant à le libérer de ses "démons" intérieurs. C'est surtout par amour pour ses enfants que madame Woods revient sur sa décision de mettre un terme à son mariage. Ayant elle-même souffert du divorce de ses parents lorsqu'elle était une enfant, Elin voudrait éviter le même sort à sa progéniture.

Les chroniqueurs et les potineurs des médias couvrant le monde des gens riches et célèbres ont des opinions diverses sur le sujet. Certains prétendent que les avocats ont fait comprendre à la femme trompée, qu'en vertu de son contrat de mariage, elle n'avait pas été unie suffisamment longtemps à Tiger pour réclamer autant d'argent qu'elle le voulait. D'autres membres de la presse à potins soulignent que Elin a aussi ses torts dans cette affaire. Selon certaines sources d'information, en faisant une terrible crise de jalousie à son mari lorsqu'il a avoué ses infidélités, Elin aurait provoqué l'accident dans lequel il a été blessé. Elle aurait pu être accusée criminellement dans ce drame qui a failli avoir des conséquences beaucoup plus graves.

Paradoxalement, la jalousie furieuse de Elin prouve peut-être son grand amour pour Tiger. Se sentant d'abord trahie, sa rage l'a empêchée de voir clair. Par la suite, une fois la tempête passée, elle a repris ses esprits et son calme même si elle était meurtrie et désemparée. L'heure est maintenant à la compassion, à la compréhension et au pardon. Si Woods fait son bout de chemin en se guérissant de sa maladie et en manifestant un repentir sincère pour ses fautes, qui sait, l'amour renaîtra peut-être de ses cendres. Et tout le monde sera content, y compris les amateurs de golf, si cet éventuel dénouement heureux permet à Tiger de reprendre sa carrière. Les oiseaux de malheur diront que rien ne pourra plus être comme avant, mais le temps arrange parfois bien les choses.




jeudi 7 janvier 2010

À CAUSE DE CARRIE UNDERWOOD : LE SÉNATEUR FISHER DORMIRA MOINS "EN CHAMBRE"

Reconnu pour son franc parler, plutôt "brutal", et ses jugements lapidaires sans appel, le juge Simon Cowell, de la populaire émission de télé AMERICAN IDOL, a brisé le coeur de beaucoup de jeunes gens qui espéraient gagner le concours et faire une grande carrière sur la scène musicale internationale. Par exemple, à une candidate moins douée, il a déjà dit bêtement : «les chances que vous gagniez sont de un million contre une». À une autre qui lui a particulièrement déplu, il a déclaré abruptement : «vous avez inventé une nouvelle forme de torture» ! Et vlan ! Pas de pitié !

Mais si Cowell peut être dur et blessant, il est aussi honnête et sait reconnaître un talent exceptionnel lorsqu'il en voit un. Comme lors de ces auditions d'American Idol à St-Louis, un jour d'été, en 2004, quand il a entendu une jeune femme de 21 ans du nom de Carrie Underwood chanter "I can't Make You Love Me", de Bonnie Raitt. Tout de suite, dans l'esprit du juge à la critique incisive, c'était clair que cette petite blonde de Muskogee en Oklahoma méritait à coup sûr de participer à la compétition nationale à Hollywood.

Dès les premières étapes du concours, Cowell prédit que, non seulement Carrie Underwood gagnera en finale mais qu'elle sera la candidate d'American Idol qui vendra le plus d'albums durant sa carrière professionnelle. L'avenir allait lui donner raison sur toute la ligne !

La nouvelle fiancée de Mike Fisher, un joueur des Sénateurs d'Ottawa de la Ligue nationale de hockey, possède un don naturel pour chanter. Elle n'a jamais suivi de cours de chant mais elle a commencé très tôt, (dès l'âge de trois ans), à exercer sa voix en chantant à l'église puis, un peu plus tard à l'école de son patelin. Lors des fêtes de village ou quand il y a des représentations artistiques dans son milieu scolaire, les habitants de sa modeste communauté rurale ainsi que ses compagnons et compagnes de classe décèlent facilement le potentiel de la petite Carrie Marie. Adolescente, elle a déjà une puissance vocale hors du commun. C'est pourquoi, un peu plus tard, au Collège, ses amis la pressent de participer aux auditions de American Idol. Surmontant sa timidité, elle finit par céder à leurs demandes. La suite fait maintenant partie de l'Histoire de la musique.

Elle devient rapidement une Star du country et se met à collectionner les trophées et les succès numéro 1 au palmarès Billboard américain. Non sans faire quelques jalouses comme la chanteuse Faith Hill, qui a vu Underwood la priver de plusieurs récompenses qu'elle croyait pouvoir toucher dans divers galas d'artistes où elle était en compétition avec sa rivale de l'Oklahoma. Et effectivement, comme Simon Cowell l'avait prédit, Carrie a établi un record de ventes pour une artiste débutante, grâce au succès de son premier album intitulé SOME HEARTS. Depuis ce temps, deux autres albums ont reçu l'assentiment de ses millions de fans à travers le monde.

Avant d'accepter la bague de fiançailles de Fisher, estimée à plus de $ 150 000, Mlle Underwood avait fréquenté d'autres célébrités comme Tony Romo des Cowboys de Dallas (NFL) et Chace Crawford (Gossip Girl's). La voici en photos sur un de ses nombreux tubes no 1, LAST NAME.